En pleine épidémie de bronchiolite, les cabinets de ville de pédiatrie, de médecine générale et de kinésithérapie se mobilisent pour répondre aux besoins de la population et des petits patients.
La collaboration étroite médecin-kinésithérapeute permet d’optimiser la prise en charge en ville des nourrissons et de leurs parents.
La kinésithérapie respiratoire prescrite par le médecin permet :
- L’évaluation et la surveillance de l’évolution ainsi qu’une éducation des parents aux signes de dégradations de l’état clinique du nourrisson (recommandations HAS) ;
- La détection des critères de gravité nécessitant une réorientation hospitalière (forme grave) ;
- La mise en place d’un traitement kinésithérapique adapté à la situation de l’enfant ; notamment « La désobstruction des voies aériennes supérieures est nécessaire pour optimiser la respiration du nourrisson » selon les recommandations de l’HAS ;
- L’apprentissage et observance des actes de désobstruction nasale par l’entourage de l’enfant pour qu’ils soient efficaces et répétés ;
- L’évaluation et l’adaptation de l’environnement de vie de l’enfant : couchage, alimentation, température de la chambre, tabagisme passif notamment…
Les URPS Médecins et Masseurs-Kinésithérapeutes encouragent ainsi à une collaboration étroite entre médecins et kinésithérapeutes afin de proposer des parcours de soins adaptés.
Voici le courrier d’information qui vous est destiné :
Téléchargez pour les afficher dans vos cabinets :
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- le flyer de l’URPS Médecins et Kinésithérapeutes de Bretagne
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- le flyer de l’Union Nationale des Professionnels de Santé
Ainsi que le communiqué de presse :